- NA 00001
- Collectivité
- 1817-
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Notice d'autorité- NA 00060
- Personne
- 1917-2003
« Née le 25 janvier 1917 à Liège, Simone David devient docteur en droit de l’Université de Liège en 1941 avec la plus grande distinction et licenciée en Sciences sociales en 1942, toujours à l’Université de Liège. Dès 1941, elle entame le barreau comme avocat stagiaire aux côtés du bâtonnier Haversin de Lexhy.
En 1942, elle devient assistante de la Faculté de droit au service du Professeur Paul Horion et chef de travaux au centre interfacultaire du travail en 1948. Chargée de cours en 1957, elle est nommée professeur ordinaire à la Faculté de droit en 1961. De 1979 à 1980, elle est doyen de la Faculté de droit, d’économie et de sciences sociales. Elle accède à l’éméritat en 1984.
En 1963, elle épouse Jean Constant, professeur de droit pénal et de criminologie à l’Université de Liège et procureur général de Liège, avec qui elle partage le goût des lettres et de la culture. »
https://200.ulg.ac.be/constant.html (Auteur : Julie Luong)
- NA 00002
- Collectivité
- NA 00067
- Personne
- 1897-1972
Raymond Bouillenne nait le 28/02/1897 à Liège. Il réalise ses études à l’Université de Liège et devient Docteur en Sciences botaniques en 1924. De 1925 à 1967, il occupe différents postes au sein de l’Université :
- Préparateur à l’Institut de botanique (1919-1925)
- Chef de travaux (1925-1927)
- Chargé de cours (1927-1932)
- Professeur extraordinaire (1932-1935)
- Professeur ordinaire (1935-1967)
Entre 1927 et 1967, il est le directeur de l’Institut et du Jardin botanique. Il créée dans les années 1930 le département de physiologie et de phytochimie qui s’intéresse à l’étude des hormones végétales. Il sera le premier, en Europe, à être doté d’une serre conditionnée (appelée phytotron).
Il participe, également, avec le Professeur Léon Fredericq (NA 00061) à la création de la station scientifique des Hautes Fagnes au Mont-Rigi en 1927.
Il est admis à l’éméritat le 28/02/1967 et décède le 19/03/1972 à Bois-le-Comte.
- NA 00041
- Personne
- 1931-2023
« Après l’obtention du titre de licencié en histoire de l’art et archéologie à l’Université de Liège en 1954, Pierre Colman débute sa carrière, d’abord, à l’Institut royal du Patrimoine artistique à Bruxelles, avant de rejoindre l’Université de Liège à partir de 1960. Il y défend, en 1962, une thèse portant sur « L’orfèvrerie religieuse liégeoise » et reçoit le titre de docteur en histoire de l’art. « Il y devint professeur associé en 1974, puis professeur ordinaire en 1976. Titulaire de la chaire d’Histoire de l’Art des Temps modernes, il y adjoignit la Technologie des arts plastiques, c’est-à-dire l’étude des modalités pratiques et concrètes de la création artistique. ». Il est admis à l’éméritat en 1996. »
Source : Dominique ALLART, Décès du professeur Pierre Colman, décembre 2023, https://www.transitions.uliege.be/cms/c_11487031/fr/deces-du-professeur-pierre-colman (consulté le 16/08/2024).
- NA 00042
- Personne
- 04/05/1882 (Gand) – 28/01/1959 (Liège)
Né à Gand en 1882, il obtient en 1905 le titre de docteur en Philosophie. En 1920, il devient professeur ordinaire à l’Université de Liège où il enseigne la métaphysique, l’histoire de la philosophie ancienne et moderne, l’encyclopédie de la philosophie et la logique. Il accède à l’éméritat en 1952.
- NA 00063
- Personne
- 1898 – 1984
- NA 00040
- Personne
- 1905-1994
- NA 00061
- Personne
- 24/08/1851 (Gand) – 02/09/1935 (Liège)
« Léon Fredericq nait à Gand en 1851. Son père, le Dr César Fredericq, était un médecin renommé et auteur d’un traité de Botanique. Sa mère, Mathilde Huet, était la sœur du philosophe français François Huet. Son frère aîné, Paul Fredericq, fût professeur d’Histoire à l’Université de Liège, et le Dr Simon Fredericq, le cadet, fût également un médecin distingué. C’est dans ce milieu familial riche de talents variés et instruit que grandit Léon Fredericq.
Attiré très jeune par l’observation de la nature, il se dirige tout naturellement vers l’étude des sciences naturelles qu’il étudie à l’Université de Gand de 1868 jusqu’à l’obtention de son doctorat, en 1871. La même année Richard Boddaert, docteur en sciences naturelles et en médecine à l’Université de Gand, engage Léon Fredericq comme préparateur des cours de physiologie humaine et d'anatomie comparée. Il entreprend de plus des études de médecine qu’il termine en 1875.
En 1876, il obtient une bourse de voyage qui lui permet de recevoir une éducation approfondie aux méthodes de la physiologie de maitres étrangers. C’est dans les laboratoires de la Station Biologique Roscoff – située au Nord de la France - qu’il découvre les nombreuses possibilités d’études qu’offre la faune marine. A son retour, il travaille sur la coagulation du sang, apportant une contribution importante à l’étude de ce phénomène. Il se fait remarquer par Théodore Swann, qui le désignera par lui pour lui succéder dans sa chaire.
En 1879, Il reprend la chaire de Physiologie à l’âge de 28 ans. Très vite intégré dans sa ville d’adoption et à l’Université de Liège, il rencontre et épouse en 1881 Bertha Spring, sœur de Walthère Spring, grand chimiste et également professeur à l’Université de Liège. En 1887, il fonde l’Institut de physiologie à Liège. De 1885 à 1888, Léon Fredericq collabore avec l’architecte Lambert Noppius à la construction de l’Institut de physiologie, place Delcour en Outremeuse.
Considéré comme un pionnier dans le domaine de la physiologie, discipline alors en plein développement, on lui doit de nombreuses découvertes, notamment en ce qui concerne la respiration, la pression et la circulation sanguine, ou encore l’invention de l’oxygénographe. En physiologie marine, il découvre, entre autres, l’hémocyanine et l’autotomie.
En 1904, il crée - avec Paul Héger, fondateur de l’Institut de physiologie de Bruxelles - les Archives internationales de Physiologie où seront publiés les travaux du maître et de ses élèves et qui sera un des premiers canaux de diffusion de la médecine expérimentale francophone.
Son professorat se termine en 1921 et c’est son fils Henri Fredericq qui lui succède dans sa chaire professorale et à la direction de l’Institut de physiologie.
Léon Fredericq était également un amoureux de la région des Haute Fagnes. En 1924 il obtient des fonds du patrimoine de l'Université de Liège afin de créer une station scientifique – connue aujourd’hui sous le nom de Station de Recherches Scientifiques des Hautes Fagnes - à la Baraque Michel. Il sera ainsi à l’origine de la première station de recherche du Mont-Rigi.
Léon Fredericq décède en septembre 1935. »
Source : https://www.uliege.be/cms/c_11072869/fr/biographie-de-leon-fredericq (Auteur : Florence Voss)
- NA 00059
- Personne
- ...-1986